Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (26) Olga Et Ahmadou

Ceux et celles qui me suivent depuis le début de ces récits savent que ma préférence va à des amants endurants, bien membrés et qui me baisent longuement comme une femelle et, j’ose le dire, comme une salope. C’est ce genre de mâles qui m’a toujours attiré depuis que j’ai perdu ma puberté. Ce que je cherche alors, c’est à être prise, à être bien remplie. La position que je préfère dans ce cas est la levrette, parce que c’est celle où la pénétration est la plus profonde et surtout celle où je me sens le plus femelle, voire animale, entièrement tendue vers le plaisir que va me donner le coït et l’appel que je fais au mâle pour qu’il me prenne encore et encore.
Je suis à la fois vaginale et clitoridienne et j’ai aussi la capacité d’enchaîner des orgasmes de plus en plus en puissants. Et le summum est quand il est possible que le mâle, après avoir longuement résisté, se vide en moi en de longues et puissantes giclées. Je m’abandonne alors totalement à ma fonction de femelle et cela peut aller, comme ce fût le cas avec Rachid (Récit n°22), puis avec Hassan et plus récemment avec N, jusqu’à me faire féconder par celui à qui je m’offre totalement.
Vous l’avez compris, ce que je veux dans ces cas-là, ce n’est pas de la tendresse et des sentiments. Comme toute personne, j’en ai besoin et c’est ce que m’apporte Philippe. C’est ce qui le rend indispensable. Seul Hassan a essayé, et a réussi un moment, à jouer ce rôle auprès de moi. Mais personne ne peut remplacer Philippe dont le candaulisme et l’amour sans limites qu’il me porte font que nous sommes en communion quand il m’offre à un autre et voit monter mon plaisir, qui devient alors aussi le sien.
Quand je suis ainsi femelle, je ne recherche guère les baisers, les caresses, les préliminaires. Et pourtant j’adore quand les lèvres, les mains de mes amants parcourent mon corps, quand on s’occupe de mes petits seins si sensibles, quand une langue explore ma chatte. Pourtant, quand je suis offerte (je ne dis pas quand je m’offre, car c’est Rachid qui décidait et depuis c’est Philippe qui décide) à un mâle qui a une virilité prometteuse d’un long coït, ce dont j’ai envie, encore et encore, c’est d’être saillie, qu’il m’envoie en l’air.

Sa queue est alors comme une épée dont mon vagin est le fourreau. Je n’ai plus qu’une envie, être prise, pénétrée, sentir les couilles lourdes taper sur mes fesses. Dans ces cas-là, et je l’assume, je suis une salope, une chienne, une femelle, qui n’écoute plus que son instinct qui vient sans doute du fonds des âges. Et dont le plaisir est décuplé par les insultes proférées par le mâle, sa domination sans oublier la présence, les encouragements, le plaisir partagé de mon mari Philippe.
Lors de l’une des partouzes dont j’ai parlées dans le récit 25, j’avais eu l’occasion de « rencontrer » Ahmadou, un ami sénégalais de Rachid. J’avoue avoir eu peur la première fois que ce jeune homme ne m’estropie, tellement son engin était monstrueux. Mais j’avais connu un plaisir inouï et j’avais envie de recommencer.
Que l’on soit clair. Il n’y a pas de ce point de vue de déterminisme. Tous les Africains ne disposent pas d’une virilité hors normes, prétendre le contraire serait un préjugé stupide et raciste. J’ai parlé, tout au long de ces récits des amants particulièrement gâtés par la nature et qui m’ont possédé. Rachid a été l’un d’eux. En érection, sa verge avait une longueur de 22 centimètres et, dès la première fois qu’il m’avait prise, dans l’ascenseur de notre immeuble (récit n°10), je savais qu’il serait mon mâle. Et il le fût pendant près de deux ans, et chaque jour il « m’honorait » et je m’en lassais pas, au point que nous avons poursuivi cela y compris pendant ma grossesse.
Ahmadou c’était encore un niveau au-dessus. Je pense que si je n’avais pas pratiqué régulièrement le fist-fucking avec Philippe, à qui je demandais de me mettre la main et une partie de l’avant-bras, jamais je n’aurais pu supporter d’avoir en moi un tel engin.
Le soir même de cette fameuse partouze, j’ai osé demandé à Rachid si je pouvais revoir Ahmadou, s’il pouvait le faire venir à la maison.
Rachid a commencé, par sadisme, à faire trainer les choses, disant que je ne méritais pas un tel cadeau, et ce malgré mes demandes répétées et mes supplications.
Cela devenait chez moi une obsession. Je voulais à nouveau copuler avec Ahmadou.
C’est Philippe qui l’a convaincu, lui expliquant qu’il aimerait beaucoup voir ce mâle me démonter. Mieux, il suggéra à Rachid de vérifier qu’Ahmadou puisse garantir qu’il était sain, afin de me prendre sans capote et se vider en moi. Plus de risques de conception, puisque j’étais déjà enceinte, seulement le plaisir de voir ma chatte noyée par la semence de ce mâle exceptionnel.
Rachid finit par le faire venir, mais se refusa à assister, sans doute un peu jaloux que je fusse attirée par un mâle encore plus performant que lui. Il précisa juste à Ahmadou que « le cocu voulait mater»
• Tu ne seras pas déçu, cocu, tu vas voir comment je vais m’occuper de cette petite putain blanche.
Ce premier soir où Ahmadou est venu, je portais une robe-tunique blanche, assez transparente, un string blanc, des escarpins ouverts à talons hauts…
Il ne s’embarrassa pas de préliminaires. Il était venu pour me baiser et j’étais impatiente qu’il le fasse.
Sa bite fait au moins 30 cm et son diamètre est énorme.
Je cherchais Philippe du regard, excitée mais une certaine appréhension se lisait dans mes yeux, comment une telle monstruosité va-t-elle à nouveau entrer dans mon ventre ? Vais-je pouvoir tout prendre ?
Ahmadou m’enlaça. J’avais l’air d’une petite chose fragile dans les bras de ce mec qui devait faire au moins 100 kilos de muscles et 20 bons centimètres de plus que moi. Il n’y alla pas par 4 chemins : il avait déjà une main qui pelotait mes seins et l’autre qui se glissait dans ma petite culotte, sans ménagement. Puis il prit ma main et la dirigea vers son slip. Ma main fine sortit la queue – déjà impressionnante – du black. Je commençais à la branler. Philippe était déjà comme hypnotisé par la scène.
Il regroupa ensuite mes cheveux en queue de cheval, m’empoigna et me fit se mettre à genoux. Je m’exécutais. Il me fourra aussi sec sa bite dans la bouche.
J’ai eu un haut-le-cœur puis je me suis mise à le sucer et à le lécher, les yeux mi-clos. Ma bouche allait et venait sur cet énorme membre noir comme l’ébène. Le mec me releva et me souleva comme une plume pour que j’enlace les jambes autour de sa taille. Je me laissais totalement faire. Il m’embrassa alors à pleine bouche.
Toujours collé à moi, il m’allongea sur le lit, glissa 2 doigts dans ma chatte, les ressortit et les mit dans ma bouche. Il se tourna vers Philippe :
• putain, elle mouille ta salope de femme…
Il m’obligea à nouveau à le sucer en me maintenant la tête plaquée contre son ventre. Mes mains se mirent à caresser ses abdos, ses pectoraux massifs, ses cuisses. Mes ongles s’enfonçaient par instants dans la peau dure et noire.
Il m’allongea sur le lit, sur le dos, leva mes jambes puis les écarta totalement vers le haut, en les tenants par les chevilles. Il me pénétra. Enfin !
Je me mordais les lèvres, poussait des gémissements de plaisir. Philippe matait la queue raide du black qui allait et venait dans la chatte de sa femme. Assis sur un fauteuil, il se mit à caresser sa queue, comme dans un état second.
Il voyait que je me laissais totalement aller. Philippe voyait ce black me retourner comme une crêpe, me positionner en levrette, m’écartant le cul et y enfonçant un doigt pendant qu’il me baisait par derrière, telle une chienne totalement docile.
• S’il te plait dis quelque chose, dis quelque chose mon amour…. TU n’as pas mal ?
J’entrouvris les yeux, toujours au bord des larmes et secouée de spasmes, je le regardais :
• Tu vois pas que je prends mon pied ?!
Le Black se mit à rire et se moquait de Philippe. Il se mit à me défoncer de plus belle et me demanda de répéter ce qu’il disait :
• Vas-y salope, gueule-le que tu aimes ça ! je veux que tout le monde t’entende et surtout ton cocu ! Regarde ta pute comme elle aime se faire démonter la chatte et le cul par une grosse bite ! Putain mais dis-le salope que t’aimes ça ! hurlait-il en me fessant le cul pendant que je me tortillais…
• Hmmmfff… oui… j’aime ça….
Vas-y, oui… je lâchais dans un râle. Oh ouiiiiiiiiii
Philippe se mit à genoux et recommençait à se branler.
• ha ha et regarde le, putain, regarde-le, ça le fait bander ce connard ! Il se branle sa petite bite de blanc ! Même pas capable de tenir sa femme ! dis-lui que t’es qu’une pute à blacks, une traînée !
• Oui, je suis une pute, Ahmadou, ta pute, ta femelle. Je suis à toi ! Vas-y, défonce-moi, démonte-moi, mets-la moi bien au fond. Oui, comme ça
Il me pénétra plus fort encore, enfonçant maintenant 2 doigts dans mon trou du cul, puis il se saisit de mes poignets et les bloqua derrière-elle en bas du dos d’une main ferme ; il retira ses doigts et me claqua le cul, une fois, 2 fois, 3 fois puis il attrapa à nouveau mes cheveux par la nuque et me tira la tête en arrière brutalement.
Ahmadou regardait Philippe d’un air dédaigneux puis a éclaté de rire ; il a pris mon visage par les joues et le tourna vers lui ; je haletais, les yeux vagues, embués.…
• regarde ton cocu de mari, salope ha ha ha ! alors tu veux arrêter ou tu lui dis que tu aimes ça!!!
Il continuait, serrant plus fort mon visage :
• Oui, oui, oui, je suis une pute à blacks ! défonce moi avec ta grosse bite, défonce-moi par tous les trous !..... mais vas-y ! Oui, comme ça, plus fort, plus vite !!!!!
Et Philippe se branlait frénétiquement, les yeux rivés sur les 2 corps qui s’entrechoquaient, sur sa femme, qu’il n’avait jamais vu dans un état d’excitation aussi intense, qui se faisait malmener, qui acceptait TOUT, se lâchait totalement, se rabaissait verbalement de façon aussi spontanée.

Ahmadou sortit sa queue de moi, il tira mes jambes pour me faire glisser vers le bord du lit. Je m’affalais sur le sol, assise jambes écartées, totalement en sueur, haletante ;
Je protestais, car j’aurais voulu qu’il se vide en moi.
• Ca viendra, je n’en n’ai pas fini avec toi, petite pute.
Il était maintenant debout devant moi, masturbant sa grosse queue face à mon visage.
• Ouvre ta bouche, tire ta langue de pute, je vais te mettre une bonne giclée de foutre sur ta gueule de petite bourgeoise ! allez salope !
Je m’exécutais j’ouvris ma bouche, langue tendue, en le regardant dans les yeux par en-dessous, servile comme une chienne réclamant sa récompense…
• allez, oui, souille-moi comme une catin…
Son sperme a giclé presque en même temps que celui de Philippe. A part que lui jutait sur mon visage et que mon mari se répandait sur la moquette de la chambre.
• Nettoie-moi la bite pouffiasse, je ne veux pas qu’il en reste une goutte !
Je passais ma langue autour de ma bouche, léchait l’énorme gland d’où s’écoulait encore sa semence; il en avait aussi sur la main alors il me fourra ses doigts dans la bouche : je les suçais encore, les yeux mi-clos, frissonnante de plaisir et des orgasmes qu’il m’avait donnés.
Le lendemain soir, Ahmadou revient pour remettre ça. Il me considérait désormais comme sa femelle, ce qui ne plaisait pas du tout à Rachid.
Ahmadou m’avait demandé de me mettre nue sur le lit conjugal et de me tenir prête.
Comme un fou, il se précipite sur moi, qui, les cuisses écartées, me caressais à la vue du mandrin.
Sans ménagement, il me retourne, me courbe en avant et d’un jet, se propulse dans ma chatte, ouverte, mais qui a toujours du mal à enfourner le chibre. Il me bloque aux hanches et d’une poussée, il s’enfonce jusqu’à la garde. Sous le douleur, je crie, mais rien n’y fait et maintenant tel un fauve, il me pistonne sans retenue.
Le passage doit s’élargir car maintenant je gémis sous la possession animale d’Ahmadou. Le primitif en lui a repris ses droits car il ne tient pas compte de sa partenaire, seul son envie compte, il est le mâle dominant la femme et il lui laboure le ventre, pour lui elle ne compte pas mais il ne sait pas que pour moi, ce n’est que du plaisir. Je hurle ma jouissance, je me débats sur sa queue, non pas pour la fuir, mais au contraire pour aller au-devant. Le bassin d’Ahmadou tape avec violence sur mes fesses et j’en veux encore plus, et quand il se retire après avoir enfin éjaculé des flots de sperme en moi, je lui dis :
• encore, j’ai encore envie d’une bite ! De ta bite ! Je ne m’en lasse pas.
Pour l’instant il est satisfait, il m’a prise comme un guerrier, rien que pour lui. Mais moi j’en veux encore.
J’engouffre à nouveau le gland d’Ahmadou en écartant autant que je peux la mâchoire. Ahmadou se penche pour empoigner un sein, il fait rouler le téton entre ses doigts, je bombe le torse afin de lui offrir ma poitrine, ma main se pose sur sa queue en ébullition !
Une salive épaisse coule aux commissures de mes lèvres, provoquée par la poussée de la bite jusqu’aux amygdales, je triture les énormes couilles dépourvues de poils rondes et dures comme des balles de tennis. Désormais, nous ne nous contentons plus de baiser, nous faisons l’amour et Ahmadou se comporte comme mon homme, sans tenir compte de Philippe et même de Rachid.
Dans un râle Ahmadou plie les genoux et laisse son foutre envahir ma gorge, le trop plein s’échappe pour finir de couler entre mes seins. Ravie, je frottant ma poitrine avec le sperme qui s’y est collé.
Mes cuisses sont très ouvertes, ma chatte entrebâillée par le désir, à genoux près de moi, le noir caresse de ses mains tout le corps nu puis descend entre les cuisses, écarte les lèvre, un doigt s’infiltre dans la moule jusqu'à la troisième phalange impatiente, puis deux, de sa main libre il masturbe sa colonne qui reprend de l’ampleur.
Les préliminaires ne sont pas son fort, positionné entre les cuisses de sa femelle le gland frotte sur toute sa longueur mon vagin impatient. Je sursaute à chaque frottement sur mon clitoris. Il lève une de mes jambes pour la poser sur son épaule, la chatte baille, je suinte de bonheur, le gland s’est arrêté en face du trou en effervescence, j’ouvre la bouche mais aucun son ne sort, j’attends l’estocade
Ahmadou pousse, la verge plie, les lèvres sont repoussées dans mon ventre, il la prend dans sa main pour la guider, la queue d’ébène fait un bond en avant et coulisse centimètres par centimètres.
Quel contraste de couleur ! La bite entre toujours, la moitié a disparu dans mon ventre, je commence à apprécier, un long soupir en est la preuve, mon bassin se soulève. Ahmadou interprète çà comme une invite à forcer encore plus le vagin écartelé, il positionne l’autre jambe sur l’autre épaule, les mains aux hanches étroites il enfonce encore et encore ……de grimaçant mon visage se transforme en expression de béatitude, la bouche entrouverte la poitrine se soulève ballotée en tous sens
Philippe approche sa bouche de mon oreille pour murmurer
• Ca va mon amour ? Que ressens-tu ?
• Hoooo ouiii mon chéri çà va ! Je suis remplie de sa grosse bite c’est très très boooooonnn! Vas-y Ahmadou baise moi! Baise la salope de blanche !
La queue se retire presqu’entièrement luisante de mouille pour replonger brutalement dans mon con déformé, il me pistonne comme un forcené, des bruits mouillés et d’air chassé se font entendre, les cheveux collés sur le visage, je couine à moitié de bonheur et de peur, mais aussi d’envie de me faire véritablement défoncer.
A regret Ahamadou n’en finit pas de retirer ce monstre de chair de mes entrailles, une véritable rivière de sperme épais jaillis d’entre les lèvres difformes qui ne se jointent plus.
Très vite, je remets ça. Je suis insatiable et lui aussi. Je fais de « l’équitation » sur Ahmadou, je monte et descend à allure régulière sur le mat du noir, le vagissement qui monte annonce un orgasme violent du mâle, je ne peux réprimer un cri de plaisir. Une forte odeur de baise règne dans la chambre !
• Ahmadou !
• Oui cocu ?
• J’aimerais que tu l’encules ?
• Je risque de l’estropier !
• Ne t’inquiète pas !
Dès qu’Ahmadou reprend vigueur, je branle à deux mains la poutre toujours en érection, quelle santé il a ce gars ! Lui, une main entre mes cuisses, plus bas dans la raie, il commence à dilater l’anneau convoité, prélevant à même la source la mouille indispensable
Il s’allonge sur moi, je n’attendais que cela et j’écarte les cuisses spontanément pour me faire enfiler, il a bien compris mon message le bougre !
Le nouvel accouplement a été assez violent et bref, nous avons jouis tous les deux ensemble, une fois debout une purée abondante coule entre mes cuisses.
• Cocu, prépare pour moi le cul de ta femme !
• Oui chéri, à toi de faire le nécessaire. Encule-moi avant chéri !
• Pourquoi pas, si je peux rendre service !!!
L’anneau bien préparé par Ahmadou n’a opposé aucune difficulté, Philippe m’a embrochée d’un coup jusqu’aux couilles.
Ahmadou a exprimé à nouveau son désir, sa queue gonflait a vue d’œil, le moment est venu pour moi de me faire sodomiser par ce monstre, je me positionne à plat ventre, les jambes bien séparées
Ahmadou approche la queue à la main, enfile un doigt, il le ressort gluant de mon foutre, et, étonnamment, se penche, écarte les deux lobes et de son épaisse langue rose perfore l’anneau
Philippe est attiré par son cul rebondis d’Africain, il avance une main sur ces fesses musclées, le noir écarte les jambes … sa main descend, passe entre les fesses, rencontre la paire de couilles dures, prêtes à injecter leur jus dans mon cul. Après les avoir malaxées, Philippe continue sa progression, collé à lui il se saisit de la verge. Il apprécie car des murmures sortent de sa bouche alors qu’il me butine le cul. Philippe aime sucer une belle queue, surtout quand elle va prendre sa femme.
Philippe vient au plus près entre les deux amants, puis ouvrant grand la mâchoire avale le gland satiné, pompe avec délice la queue qui a donné tant de satisfaction à sa femme. Mais le mâle a envie d’autre chose, le moment est venu …..
Philippe s’assoit à mes côtés et aide la manœuvre en écartant les lobes, le trou est bien ouvert dégoulinant de salive.
• Tu es prête chérie ? Çà va aller, je suis là tout près, je vois tout
Il caresse ma tête, je me cambre, offrant mon postérieur au black, celui-ci se positionne sur la cible, comme pour la chatte les chairs sont repoussées, la rondelle cède peu à peu et d’un coup le nœud s’engouffre,
• HAAAAAAAAA, Ahmadou, tu me déchire !!!!!!!! Ça brule ! Stop !!!!
• Ça va passer mon amour …. Courage dans deux secondes tu vas sentir le plaisir monter
• Tu crois ? j’espère car sinon j’arrête !
• Je vais te casser le cul, salope !
• Vas-y mais fais doucement ……
Le boudin noir recommence sa progression, le cul a un réflexe de retrait et finalement résiste et même pousse vers la queue, c’est gagné !
• Encule-moi Ahamdou, ça va maintenant
Il se retire carrément, impressionnant, le trou reste ouvert, béant rouge à l’intérieur, l’homme envoie un giclée de salive qui disparait dans le fondement
Et la manthule reprend sa place, je me cabre, et, de nouveau je m’embroche, le contraste de ces fesses blanches et de ce gros trait noir planté en moi fascine Philippe.
Lentement mais sans faiblir de cadence les vas et vient m’arrachent des soupirs, Philippe passe sa main sous moi pour caresser tantôt les seins, tantôt le clitoris noyé de mouille, des spasmes traversent tout mon être, la jouissance arrive lentement ….
Soudain j’ai une giclée phénoménale de cyprine, Ahmadou se cramponne aux hanches et, bloqués l’un sur l’autre, nous laissons échapper des cris inhumains, quelques instants de récupération et les deux sexes se déboitent, celui du Black laisse échapper une dernière goute de foutre et le cul toujours ouvert fait des bulles recrachant des paquets de spermes, je m’effondre, épuisée de bonheur
Ahmadou et moi sommes assis côte à côte face à Philippe, moi, chacun une main sur la cuisse de l’autre comme deux vieux amants. Je me lève pour venir à cheval sur ses genoux, les jambes légèrement fléchies, je guide la verge recourbée entre mes lèvres toujours dilatées, le boudin noir disparait lentement dans le ventre maintenant habitué à ce diamètre.
En salope assumée, je fixe Philippe en passant la langue sur mes lèvres, Ahmadou me maintient par les hanches et rythme la descente appuyant plus ou moins fort pour définir profondeur de la pénétration.
Nous avons ainsi baisé une bonne partie de la nuit, avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Rentré le lendemain matin, Rachid nous a trouvé ainsi. Il était furieux et fût à deux doigts de se battre avec Ahmadou. Rachid avait une forte autorité dans sa cité et, curieusement, c’est Ahmadou qui céda, acceptant de partir et de ne plus me revoir, comme l’exigea Rachid. J’ai eu la tentation de suivre Ahmadou, auquel j’étais en train de m’attacher, mais Rachid m’a fermement reprise à mains.
• Tu es à moi, femme et je n’en n’ai pas fini avec toi. Tu as compris, salope.
Rachid devenait de plus en plus odieux et de plus brutal avec moi, se comportait comme si j’étais à lui et ne prenait même plus la peine de demander à Philippe, mon mari, son avis. Avec le recul, je me dis que c’est sans doute dans ce moment-là, que j’ai ensuite trouvé la force de le faire sortir de ma vie.
Quant à Ahmadou, j’ai appris plus tard qu’il avait quitté la ville et qu’il était rentré au Sénégal. Nous avons été bien plus tard en contact par messagerie, grâce à un autre jeune de la cité. Ahmadou n’a pas oublié ces quelques jours intenses et moi non plus. Il me propose régulièrement de venir avec Philippe passer des vacances non loin de son village. Il veut, dit-il me présenter à des amis. J’ai bien compris ce qu’il avait en tête, avec la promesse d’être pendant plusieurs jours livrée à Ahmadou et ses amis. Philippe me pousse à répondre favorablement à cette proposition. Ce n’est pas d’actualité, compte tenu de mon état. Mais j’avoue que la perspective me tente, mais ça me fait aussi peur. Pas la perspective d’être baisée par des forces de la nature, mais je crains toujours de me laisser glisser sur ma pente naturelle.

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